Le Fantôme D'Ézilda

Sans le voir, nous pouvons sentir la présence du FANTÔME par nos sens: un arôme floral nous berce avec amour laissant percevoir de doux effluves légèrement fruités et épicés. Un goût rond en bouche avec une finale assez sèche qui nous incite à la prochaine lampée. À travers le voile doré de la robe du FANTÔME, la lumière nous envoûte et pour honorer sa mémoire, une mousse persistante qui ne veut pas mourir. Après l’avoir bu, vous ne pourrez plus vous séparer du « FANTÔME D’ÉZILDA »

«La pauvre petite est bien jeune pour avoir été ainsi condamnée à souffrir»
— Louis-Joseph Papineau

À la mort de sa soeur Azélie, elle s’occupe de ses neveux et nièces et se charge plus particulièrement de l’éducation d’Henri Bourassa. En 1871, au décès de son père, Louis-Joseph, elle est l’une des héritières de la seigneurie de La Petite-Nation. De 1884 à 1894, elle habite dans la maison érigée par Napoléon Bourassa à Montebello.

LE FANTÔME D’ÉZILDA, une chanson composée et interprétée par Les Chiens Sales, pour honorer la mémoire d’Ézilda Papineau. Show Less